De Limoges, je ne connaissais pas grand-chose ; seul un lointain souvenir d’enfance me restait en tête. Un de ceux qui naissent sur la route des vacances… Limoges annonçait alors, pour la Nantaise que j’étais, la dernière ligne droite avant les Monts du Cantal. Une ville que l’on s’empressait de traverser, une ville de passage. Il aura fallu attendre plus de 20 ans pour que je m’y arrête et me crée de nouveaux souvenirs. Au programme : faire ripaille dans ses assiettes en porcelaine, remonter le temps à chaque ruelle le nez en l’air, prendre le vert des jolis bords de Vienne et profiter de la campagne aux portes de Limoges.
Texte & photos : Elise Chevillard