Il est aventurier, passionné du Grand Nord, Il a traversé la Sibérie, parcouru 8600 km en traîneau de chiens pour son Odyssée Blanche … Il tourne en Sibérie pour le film Loup, réalise le film Belle et Sébastien, puis de la côte Pacifique de la Sibérie jusqu’au Lac Baïkal en passant par la Chine et la Mongolie il réalise le film éponyme l’Odyssée Sauvage …sans oublier son premier film Le Dernier Trappeur.
Mais pour Country & Hotels, en pleine actualité avec la sortie de son film L’Ecole Buissonnière, il pose ses valises et prend le temps de répondre à quelques questions.
Quelle est votre destination-évasion parfaite, celle où vous vous ressourcez, où vous retrouvez ce dont vous avez besoin ?
J’aime Rome. J’y vais très souvent. Pour moi, c’est une ville musée, empreinte de romantisme. C’est la ville des amoureux. C’est là que j’aime aller à deux. En plus, les petits plats sont délicieux !! Personne ne peut concurrencer la cuisine italienne. Les gens sont sympas, toujours accueillants et souriants. Les parcs sont magnifiques et il y a toujours de l’animation le jour comme le soir. C’est très gai. L’esthétique des gens et de la vie à Rome est pour moi une ode au romantisme.
Quel est votre meilleur spot en famille ?
Même si l’on aime se retrouver en Sologne en famille, il nous arrive de réunir les enfants pour découvrir ensemble de nouveaux territoires, comme nous l’avons fait dans les montagnes de l’Atlas lors d’une extraordinaire randonnée ou encore en Irlande. Ça nous permet de découvrir ensemble d’autres cultures, d’autres destinations.
Pensez-vous que le voyage qui vous fait poser vos valises est indispensable pour mieux se connaître ?
Pour moi sans doute, il l’était puisqu’il y avait un besoin absolument irrépressible et total de voyager, notamment d’aller dans ces pays d’en haut qui m’attiraient. Je ne serais pas celui que je suis si je n’avais pas accompli ces rêves qui étaient en moi. Indispensable pour tout un chacun, je ne pense pas, mais sortir de ses habitudes et tester ses limites permettent certainement de mieux se connaître. Pour moi, il est sûr que voyager était quelque chose d’indispensable.
Par Pierre-Etienne VINCENT